Stop au militantisme et au financement du wokisme par l’Europe 

Pétition

L’hypocrisie, l’idéologie et la collusion de la Commission européenne avec des associations woke, ça suffit !

Sous le masque consensuel de l’égalité, la Commission européenne prépare son plan 2026-2030 de mise en place dans toute l’Europe des revendications portées par des associations LGBTIQ. Ce plan motivera en outre le renouvellement du financement massif (12,4 millions d’€ de 2020 à 2024) de ces associations communautaristes et woke par la Commission, c’est-à-dire par l’argent des contribuables français et européens.

Stop au militantisme et au financement du wokisme par l'Europe

La Commission européenne consulte actuellement « les personnes intéressées » afin d’élaborer sa « stratégie de l’UE pour l’égalité des personnes LGBTIQ¹ pour la période 2026-2030 »².

Cette stratégie, qui prétend défendre l’égalité vise en réalité, comme l’expérience le montre, à promouvoir et à faire avancer des revendications communautaristes et fondées sur l’idéologie du genre.

Si les citoyens et les associations peuvent défendre et soutenir les revendications de leur choix, même clivantes et sans fondement scientifique, ce n’est pas le cas de la Commission européenne qui est tenu, notamment, de respecter le traité de fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) et le principe de subsidiarité en matière familiale et donc sociétale.

Le caractère militant de ce projet est d’autant plus inacceptable que ces revendications font fi de la réalité humaine sexuée, mais aussi des implications majeures pour les enfants qui peuvent être délibérément privés de père ou de mère suivant cette idéologie. En effet, ces revendications, qui concernent notamment la procréation et la filiation (PMA sans père et GPA), portent atteinte au « droit de l’enfant de connaître ses parents et, dans la mesure du possible, d’être élevé par son père et sa mère » (article 7 de la Convention internationale des droits de l’enfant, CIDE).

Nous dénonçons aussi l’hypocrisie et les mensonges réitérés de ceux qui réinterprètent cet article 7 de la CIDE en faisant croire que les adultes qui ont commandé un enfant, par GPA par exemple, sont les « parents » que l’enfant à le droit de connaître. Le sens de ce texte, à interpréter sur la base de l’intention des rédacteurs comme tout juriste le sait, est bien de protéger le droit de l’enfant à connaître son père et sa mère, ceux dont il est né. Ce texte implique donc, en réalité, de ne pas séparer l’enfant de sa mère et d’interdire la GPA. Le soutien apporté par la Commission européenne aux associations qui militent pour la GPA est donc une aberration humaine, mais aussi juridique.

Nous dénonçons les objectifs de cette stratégie parce qu’ils sont également d’intégrer l’idéologie du genre et l’agenda LGBTQ dans toutes les politiques publiques, notamment éducatives ; d’étendre un « crime de haine » qui vise, en réalité, à faire taire tout ce qui ne partagent pas ce militantisme, ainsi que la poursuite du financement européen de l’agenda LGBTIQ.

En effet, pour construire cette stratégie, la Commission européenne prévoit de poursuivre sa collaboration avec les « organisation de défense des droits LGBTIQ ». Ces associations sont connues : ILGA, Transgender Europe, l’organisation Intersex International Europe, l’organisation des jeunes et étudiants lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, queer et intersexués et la conférence lesbienne d’Europe et d’Asie centrale. Elles ont déjà signé un « accord-cadre de 4 ans » au cours desquels elles ont reçu de la Commission européenne 12,4 millions d’€ entre 2020 et 2024, qui s’ajoutent aux millions reçus par leurs antennes nationales et locales³. Il s’agit donc là de leur refaire un chèque pour continuer à militer.

Le système consiste ainsi à financer des associations pour qu’elles alimentent la Commission européenne en projets militants qui seront ensuite mis en œuvre par la Commission !

Ce système et cette collusion sont inacceptables, et encore davantage à l’heure où l’Europe est confrontée à une situation internationale à hauts risques d’extensions des conflits comme des difficultés économiques et budgétaires.

Nous demandons aux dirigeants, membres et hauts fonctionnaires de la Commission européenne, mais aussi aux membres du Parlement et au Conseil de l’Union européenne de mettre un terme à ce prosélytisme communautariste et à son financement par l’argent des contribuables français et européens.

¹ LGBT pour lesbien, gay, bi, trans, intersexe, queer.
² Stratégie de l’UE pour les personnes LGBTIQ 2026-2030
³ Communication de la commission au parlement européen (voir p.13)

The European Commission is currently consulting ‘interested parties’ to develop its ‘EU strategy for LGBTIQ¹ equality for the period 2026-2030².

This strategy, which claims to defend equality, is in fact, as experience shows, aimed at promoting and advancing communitarian and gender ideology-based demands.

While citizens and associations are free to defend and support the claims of their choice, even if they are divisive and without scientific basis, this is not the case for the European Commission, which is bound, in particular, to respect the Treaty on the Functioning of the European Union (TFEU) and the principle of subsidiarity in family and therefore societal matters.

The militant nature of this project is all the more unacceptable given that these demands disregard the reality of human sexuality and have major implications for children who may be deliberately deprived of a father or mother in accordance with this ideology. Indeed, these demands, which concern in particular procreation and filiation (fatherless assisted reproduction and surrogacy), undermine the ‘right of the child to know his or her parents and, insofar as possible, to be raised by his or her father and mother’ (Article 7 of the International Convention on the Rights of the Child, CRC).

We also denounce the hypocrisy and repeated lies of those who reinterpret Article 7 of the CRC by claiming that adults who have ordered a child, through surrogacy for example, are the ‘parents’ that the child has the right to know. The meaning of this text, which must be interpreted on the basis of the intention of its drafters, as any lawyer knows, is clearly to protect the right of the child to know his or her father and mother, those from whom he or she was born. This text therefore implies, in reality, that children should not be separated from their mothers and that surrogacy should be prohibited. The support given by the European Commission to associations campaigning for surrogacy is therefore not only a human aberration, but also a legal one.

We denounce the objectives of this strategy because they also include integrating gender ideology and the LGBTQ agenda into all public policies, particularly education; extending a ‘hate crime’ that in reality aims to silence anyone who does not share this militancy; and continuing European funding for the LGBTIQ agenda.

Indeed, in order to build this strategy, the European Commission plans to continue its collaboration with ‘LGBTIQ rights organisations’. These associations are well known: ILGA, Transgender Europe, Intersex International Europe, the organisation for lesbian, gay, bisexual, transgender, queer and intersex young people and students, and the Lesbian Conference of Europe and Central Asia. They have already signed a ‘four-year framework agreement’ under which they receive €12.4 million from the European Commission between 2020 and 2024, in addition to the millions received by their national and local branches³. This is therefore a case of writing them another cheque so that they can continue their activism. The system therefore consists of funding associations so that they can provide the European Commission with activist projects, which are then implemented by the Commission!

This system and collusion are unacceptable, especially at a time when Europe is facing an international situation with a high risk of conflict and economic and budgetary difficulties.

We call on the leaders, members and senior officials of the European Commission, as well as the members of the European Parliament and the Council of the European Union, to put an end to this communitarian proselytism and its funding by French and European taxpayers’ money.

¹ LGBT stands for lesbian, gay, bisexual, transgender, and queer.
² EU LGBTIQ Strategy 2026-2030
³ Communication from the Commission to the European Parliament (see p.13)

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Pétition Stop militantisme woke en Europe

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